Les avantages et inconvénients entre être propriétaire et copropriétaires?

Vous souhaitez acquérir votre propre bien immobilier ? Dans ce cas, deux solutions s’offrent à vous : devenir propriétaire ou copropriétaire. Ces deux statuts sont bien différents et possèdent chacun des avantages et des inconvénients. Quels sont-ils ? Faisons le point.

Devenir propriétaire d’un logement : avantages et inconvénients

Quels sont les avantages de la propriété immobilière ?

Devenir propriétaire d’une maison ou d’un appartement est le rêve de nombreux Français. Et pour cause : le statut de propriétaire immobilier possède de nombreux avantages.

Le propriétaire peut réaliser des travaux de rénovation

Le propriétaire d’un logement a la possibilité de réaliser un vaste panel de travaux, visant la rénovation ou la modification du logement. En effet, il peut changer la fonction ou la destination de son bien immobilier. Par exemple, il peut aménager un garage en logement pour le louer par exemple, ou transformer un grenier en chambre, afin d’augmenter la surface habitable. Bien sûr, le propriétaire est en mesure de réaliser des travaux de construction dans sa propriété, à condition que ceux-ci soient autorisés par le PLU.

Le propriétaire peut louer son logement

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Taxe foncière : Comment est-elle calculée et a qui s’adresse t-elle?

La taxe foncière est une des nombreuses taxes collectées par les impôts et que beaucoup de contribuables doivent payer. Elle s’adresse uniquement aux proprietaires. Le redevable de la taxe foncière peut ainsi être un particulier, une entreprise ou une personne morale (société commerciale ou société immobilière). Elle est généralement perçue par la commune de France où se situe le bien considéré.

Proprietes éligibles à la taxe foncière

La taxe foncière est due par les contribuables propriétaires ou usufruitiers :

– de propriétés baties (TFPB) : il s’agit des constructions qui peuvent avoir un usage d’habitation ou un usage professionnel ;

– de propriétés non-baties (TFPNB) : les terrains agricoles, les vignes, les bois, les étangs et lacs, les chemins de fer ou encore les marais ou les carrières. Ces proprietes sont réparties dans 13 groupes différents utilisés pour le calcul du montant.

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Crédit immobilier : Jusqu’à quel âge pouvez-vous emprunter?

Beaucoup de personnes se posent la question : jusqu’à quel âge est-il possible d’obtenir un prêt immobilier ?

Théoriquement, il n’y a pas de limite d’âge, pour financer un bien immobilier vous pouvez le faire jusqu’à 80 ans, voir plus… Aujourd’hui, dans la loi, rien n’interdit aux banques de prêter en fonction de l’âge, mais la personne doit être majeure. En réalité, la pratique est tout autre, les refus de crédit immobilier liés à l’âge sont nombreux. Les banques étudient chaque dossier, en tenant compte de chaque situation qui correspond à une période de votre vie.

Compte tenu de la précarité au travail et le manque d’apport personnel, les jeunes sont les perdants pour l’obtention d’un crédit immobilier. Face à cette situation, les banques ont compris très vite que les séniors conservent un pouvoir d’achat conséquent, et proposent dorénavant des prêts même aux retraités, ou aux personnes âgées.

Comment emprunter, tout en étant à la retraite ?

Il est de plus en plus courant de trouver sur le bureau d’un banquier, des dossiers de financement pour des personnes de plus de 60 ans voir 65 ans. Même si le coût de l’assurance du prêt reste plus élevé que j’ai un jeune, il n’est pas rare d’avoir un accord sur une durée longue de 20 ans. Selon l’Observatoire du Crédit Logement, cela représente plus de 4 % des dossiers de financement chez les retraités. ce prêt sera d’autant plus facile à être accordé, si le retraité possède des biens, de l’épargne, un portefeuille boursier. la banque pourra garantir son prêt sur un nantissement sur un des biens du client. Le banquier sera plutôt regardant sur le montant de la mensualité à rembourser. Cette mensualité devra rester très raisonnable, par rapport aux revenus d’un retraité.

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Vente immobilière : Est-il possible de se rétracter avant le compromis ?

Avant d’officialiser une vente immobilière par la signature d’un acte de vente, l’acheteur et le vendeur doivent fixer leur accord à l’aide d’un compromis de vente. Dans certaines conditions, le vendeur peut se rétracter avant la signature de ce fameux compromis. Dans quelles circonstances ? Quels sont les risques d’une rétractation dans le cadre d’une vente immobilière ? C’est ce que nous allons voir. Mais, avant toute chose, revenons sur la définition d’un compromis de vente.

Qu’est-ce qu’un compromis de vente ?

Le compromis de vente, aussi appelé « avant-contrat » est une promesse bilatérale. Via ce document, le vendeur s’engage à vendre son bien à l’acheteur, qui s’engage de son côté à acheter le bien proposé au prix fixé. Le compromis de vente détermine la valeur d’achat du logement, la date butoir de la signature de l’acte de vente, ainsi que les conditions générales, particulières et suspensives qui régissent cette transaction immobilière.

Le compromis de vente peut être signé entre particuliers, mais il est recommandé de signer le compromis de vente devant le notaire. En effet, ce professionnel peut vous accompagner dans la rédaction de ce document et vous propose ses conseils.

Attention : si le délai fixé entre le compromis de vente et l’acte de vente est de 18 mois ou plus, la signature du compromis de vente doit obligatoirement avoir lieu devant un notaire pour être valable.

Ne pas confondre compromis de vente et promesse unilatérale de vente

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Régine Villedieu Immobilier